Le goût et la nature des collections ont-ils évolué avec la mondialisation de l’’Art ? Comment se situe le collectionneur en ce début du XXIe siècle ? Est-il toujours cet amateur passionné, cultivé, atteint de « collectionnite ».
La spéculation l’emporte-t-elle sur l’amour de l’Art et la reconnaissance de la véritable
qualité artistique ? Est-ce un phénomène historiquement nouveau dans l’histoire de l’art ? Les défis des musées, au XXIe siècle, conduisent-ils à la marchandisation de la culture ?
C’est à ces questions et bien d’autres que les intervenants ont apporté des réponses lors du colloque organisé par la CEA dans les locaux de l’Institut National de l’Histoire de l’Art.